lundi 28 janvier 2008

Parce que tous les mots sont vains...

...ce soir simplement je pense à vous D et A-M. Courage. Je vous aime.

samedi 26 janvier 2008

Le Petit Bal Perdu

En cherchant une vidéo de Decouflé sur le web, j'ai retrouvé celle-ci, j'aimais déjà son univers en 1994 ;-)

Sombrero


"Toute vraisemblance entre ce texte et notre spectacle serait purement fortuite, accidentelle, voire intentionnelle.
Au départ, au début du commencement : un soupçon, juste l'ombre d'un soupçon. Il fait chaud. Des bruits d'éperons se font entendre sourdement. La porte du saloon bat son plein. Le sombre héros surgit de la nuit. Il tire plus vite que son ombre. Hombre, quel est ton nombre ?



Quel est le nombre des ombres ?
Il y a les ombres premiers ou décimaux. Il y a les ombres chinoises, les ombres sombres, les ombres lumineuses. Les ombres portées, les ombres îles du monde. Les ombres d'un doute...



Je suis comme mon ombre, partout où je vais elle est là, partout où elle va je suis là ; je ne suis que l'ombre de moi-même ; un corps c'est toujours avec son ombre, un corps sait qu'une ombre n'est pas un corset.



Tout un chacun a une ombre, toute ombre a un chacun. Que font nos ombres lorsque nous avons le dos tourné ? Ombres, où êtes-vous la nuit ?
Mais au fait, on dit un ombre ou une ombre ? Il ou elle ? Mon ombre : il, ou mon ombre : elle ?"

Christophe Salengro d’après Claude Ponti



On nous avait pourtant prévenus dès le début du spectacle de Philippe Decouflé...l'univers tel que nous le connaissons allait disparaître. Pas d'inquiétude toutefois, notre "moi socio-culturel habituel nous attendrait à la sortie". Alors oublions tout et laissons-nous guider dans ce voyage au pays des ombres, ombres indociles, indépendantes ou démultipliées, ombres qui se jouent de nos perceptions, qui est l'ombre au fond ? L'ombre d'un doute m'assaille tandis que des tombereaux de lumières videos illuminent la scène, Nosferatu s'enfuit, nous voilà à la plage...la musique de Brian Eno est toujours là, parfois presque techno, parfois aussi douce qu'une gymnopédie de Satie...

J'ai trouvé une petite vidéo sur You Tube, pour vous donner un aperçu, mais la musique est moins prenante que pendant le spectacle, enfin pour ces scènes précisément...



D'autres videos et un tas d'infos sur le site de la compagnie DCA - Philippe Decouflé CIE-DCA

jeudi 3 janvier 2008

Bloavez Mad !



Pour l'occasion j'ai même piqué l'affiche de monsieur le maire ! Je vous souhaite tout le bonheur du monde, une lumière au fond des yeux de ceux que vous aimez, de la chaleur dans les sourires, du rêve et de l'enthousiasme...bref, une année intense !
Je lève ma coupe à la santé des fous, insoumis et autres rêveurs, pour qu'ils continuent de m'entraîner hors des sentiers battus, merci à eux !